Chernozems under long term irrigation

Abstract

Le but de cet article est de souligner l'impact de l’irrigation à long terme sur les caractéristiques structurelles et la vie dans les Chernozems. Les chercheurs ont été effectués sur deux endroits dans la Plaine Roumaine, sur Chernozems irrigués plus de 30 ans. Sol perturbé (pour l'analyse physique et chimique) et le sol non perturbé (pour l'étude micromorphologique) ont été échantillonnés. Les chercheurs complexes des Chernozems ont montré une corrélation significative entre les valeurs analytiques de la taille et la forme des pores (quantifiée par le but de l'analyse de l'image) et les facteurs générateurs de porosité comme la faune et les processus physico-mécanique (obtenu par les images micromorphologique sur les lames minces). Les données d'analyse d'images obtenues pour la porosité totale ont montré que les deux horizons du sol de la couche arable (Ap et respectivement Apt) étaient modérément poreux (la porosité totale dans Ap était de 0,18 à 0,23 m2m-2, tandis que dans Apt légèrement diminué à 0,14 à 0,21 m2m-2). L'impact de l'irrigation a initié également un peu de lessivage de plasma du sol (constituants < 0,002 mm) avec la formation de très fines couches d'argile impurs. L'irrigation à long terme profondément changé l'écologie des Chernozems étudiés, à la suite de réduire les saisons de sécheresse (en appliquant l'irrigation dans les périodes chaudes et sèches) et, par conséquence, la faune est devenu plus actif une période plus longue au cours de l'année. Dans cette environnement compacté, une collaboration mutuelle établie entre les racines des plantes cultivées et la faune du sol: ainsi, la faune étant abondante et très active, enfouit beaucoup de canaux qui sont devenus les chemins préférentiels des racines, et par conséquence une tâche facile pour les racines pour explorer cette environnement compacté. L'irrigation à long terme a lessivé également le CaCO3 au dessous de 125 cm, la limite nécessaire pour les sols classifiés comme Chernozems. Dans cette condition, a été proposée une révision taxonomique.

DOI: 10.15551/lsgdc.v42i0.06